Un accueil en fanfare – ou presque
Dès leur arrivée, la glace n’a pas eu le temps de s’installer : la welcome party a tout emporté sur son passage. Rythmes, rires, déhanchés improvisés… Grâce à la musique et à la danse, les liens entre les jeunes Belges et Togolais·es se sont noués avec une spontanéité désarmante.



Au cœur de Kougnohou
Pendant une semaine, le groupe a vécu au rythme de Kougnohou, dans le Centre Jeunes où s’est déroulée l’essentiel de la rencontre. Au programme :
- des visites inspirantes : école (avec un match de foot épique entre jeunes des deux pays), hôpital, autorités locales, pépinières…
- des échanges informels et profonds lors des repas, des tâches du quotidien ou à travers des débats sur des thématiques choisies ensemble
- un petit coup de pinceau (et de ponceuse) pour contribuer à l’aménagement de la cuisine communautaire
- une créativité débordante : deux chorégraphies originales et un logo pour immortaliser la rencontre sur des t-shirts colorés





Explorer, découvrir, s’émerveiller
À Kpalimé, place à la découverte culturelle : marché botanique, mont Kloto, cascade rafraîchissante…
Et à Lomé, une fin de séjour rythmée par le tumulte des marchés artisanaux, une session “tourisme extrême” au grand marché sous un vent apocalyptique, une pause à la plage et une rencontre marquante avec un prêtre vaudou.





Souvenirs marquants et anecdotes inoubliables
La panne révélatrice
Sur le trajet entre Lomé et Kougnohou, la camionnette a déclaré forfait. Panique à bord ? Pas vraiment. Schela et Yolande, responsables des deux côtés, ont géré le stress pendant que les jeunes inventaient une masterclass de lâcher prise à coups de loup-garou et de confidences. Inattendu, mais profondément fondateur.
La soirée belge
Une présentation ludique de la Belgique, un public togolais au top et si réceptifs, et un repas aussi créatif qu’inspiré : pêche au thon et frites de patates douces. Tout le monde s’est régalé.
Le Kasala, pour clore en beauté
À Kpalimé, le groupe a expérimenté le Kasala, un exercice d’écoute et de restitution sensible. Par binômes, les jeunes ont écouté l’autre, écrit un texte inspiré de son vécu, et partagé des mots touchants. Un moment intime, puissant, d’une sincérité rare.


